Quand il fut conduit au tombeau (en 1847, quatre ans après M. Casimir Delavigne, et trois ans avant M. De Balzac) par Une foule reconnaissante, au milieu d'un deuil unanime, Frédéric Sou lié obtint le grand honneur d'une louange publique; un grand poè'te, un juge écouté qui était son ami et son maître avait réclamé l'honneur de cette oraison funèbre; il fut loué surtout« parce qu'il était mort, disait M. Victor Hugo au milieu de son oeuvre non interrompue, avec le candide sourire d'un jeune homme.
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