Ce texte est compose des chapitres 4, 8 et 10 de l'ouvrage The world I live in ecrit au debut du XX e siecle par la philosophe americaine Helen Keller, frappee de cecite et de surdite. Dans ces textes, elle decrit la richesse des sensations internes et externes, notamment celles fournies par le toucher, et affirme que la seule obscurite est celle de l'ignorance et de l'insensibilite. Ces chapitres sont suivis d'un discours intitule Causes sociales de la cecite ou elle fustige les conditions deplorables de vie et de travail, responsables, entre autres atteintes a la sante, de cas de cecite
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