Aslruc, que La Mettrie a poursuivi depuis de ses sar casmes dans tous ses ouvrages.s echapper a la réflexion. Fort de ses propres forces, si je puis m'exprimer ainsi, et rempli des recherches de la nature qu'il faisait avec une dextérité infinie, il voulut communiquer au public les découvertes qu'il avait faites. Ll donna son Traité sur la petite vérole, sa Médecine pratique, et six volumes de Commentaires sur la physiologie de Boerhaave tous ces ouvrages parurent 'a Paris, quoique l'auteur les eût composés a Saint — Malo. Il joignait a la théorie de son art une pratique toujours heureuse; ce qui n'est pas un petit éloge pour un médecin.
{{comment.content}}